Quels sont les avantages de faire la vidange de sa voiture sans permis ?
On peut être tenté de faire faire sa vidange chez son concessionnaire. Généralement, cela se révèle rapide et efficace. Toutefois, cela coûte cher. Idem chez le garagiste. Du coup, la solution idéale reste de faire ça soi-même. En plus, la voiture n’est pas immobilisée aussi longtemps que chez un garagiste, donc ça vous laisse une plus grande marge de liberté.
Faire la vidange de sa voiture sans permis
Anticiper la vidange
Il faut surveiller avec attention le nombre de kilomètres effectués, via le compteur sur le tableau de bord. Ensuite, il faut savoir au bout de combien de temps la vidange doit être réalisée sur votre voiture sans permis. Une fois cela bien compris et organisé, il convient d’acheter de l’huile adaptée à votre véhicule. Pour cela, rien de mieux que les informations notées dans le carnet d’entretien de votre véhicule. Il faut aussi que vous appreniez à bien connaître les différents éléments constitutifs de votre voiture sans permis.
Commencer l’opération
Il est fortement recommandé de rouler quelques kilomètres avant de procéder à la vidange de votre voiture sans permis : l’huile sera alors beaucoup plus liquide et s’écoulera plus facilement. Il suffit ensuite de vider le réceptacle que vous aurez préalablement dévissé. Le bouchon doit être dévissé avec soin, idéalement avec une clé. Le vidage va alors commencer et il peut durer une dizaine de minutes. Une fois le vidage terminé, il est alors l’heure d’effectuer le remplacement du filtre à huile et de sa cartouche. Ensuite, vous devez mettre la nouvelle cartouche puis remplir le réservoir avec une quantité équivalente à 1,5 litre de la nouvelle huile.
La vidange, en temps normal, doit durer une trentaine de minutes : un néophyte mettra probablement un peu plus de temps mais rapidement, la manipulation sera vite comprise et la partie la plus longue sera celle, incompressible, du vidage de l’huile usagée.
Au final, vous aurez développé vos compétences techniques tout en économisant, au bas mot, une centaine d’euros : alors, heureux ?